La carte postale |
Auteurs | Berest, Anne (Auteur) Brousse, Ariane (Narrateur) |
Edition | Audiolib : Paris , 2022 |
Fabrication | Audiolib : [Paris] |
Collection | Littérature |
Illustration | Jaquette ill en coul |
indice Dewey | 190 |
Langue d'édition | français |
Sujets | seconde guerre mondiale Shoah Enquête Témoignage |
Nombre de réservation(s) actuelle(s) : 0 | |
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Autres Titres / Auteurs :
Suivi d'un entretien inédit avec l'autrice /
Résumé : La carte postale est arrivée dans notre boîte aux lettres au milieu des traditionnelles cartes de voeux. Elle n’était pas signée, l’auteur avait voulu rester anonyme. Il y avait l’opéra Garnier d’un côté, et de l’autre, les prénoms des grands-parents de ma mère, de sa tante et son oncle, morts à Auschwitz en 1942. Vingt ans plus tard, j’ai décidé de savoir qui nous avait envoyé cette carte postale, en explorant toutes les hypothèses qui s’ouvraient à moi. Ce livre m’a menée cent ans en arrière. J’ai retracé le destin romanesque des Rabinovitch, leur fuite de Russie, leur voyage en Lettonie puis en Palestine. Et enfin, leur arrivée à Paris, avec la guerre et son désastre. J’ai essayé de comprendre pourquoi ma grand-mère Myriam fut la seule qui échappa à la déportation. Et d’éclaircir les mystères qui entouraient ses deux mariages. Le roman de mes ancêtres est aussi une quête initiatique sur la signification du mot “Juif” dans une vie laïque.
Notes : À la fois récit des origines et enquête familiale, ce roman se dévore. Suivi d'un entretien inédit avec l'autrice.
Suivi d'un entretien inédit avec l'autrice /
Résumé : La carte postale est arrivée dans notre boîte aux lettres au milieu des traditionnelles cartes de voeux. Elle n’était pas signée, l’auteur avait voulu rester anonyme. Il y avait l’opéra Garnier d’un côté, et de l’autre, les prénoms des grands-parents de ma mère, de sa tante et son oncle, morts à Auschwitz en 1942. Vingt ans plus tard, j’ai décidé de savoir qui nous avait envoyé cette carte postale, en explorant toutes les hypothèses qui s’ouvraient à moi. Ce livre m’a menée cent ans en arrière. J’ai retracé le destin romanesque des Rabinovitch, leur fuite de Russie, leur voyage en Lettonie puis en Palestine. Et enfin, leur arrivée à Paris, avec la guerre et son désastre. J’ai essayé de comprendre pourquoi ma grand-mère Myriam fut la seule qui échappa à la déportation. Et d’éclaircir les mystères qui entouraient ses deux mariages. Le roman de mes ancêtres est aussi une quête initiatique sur la signification du mot “Juif” dans une vie laïque.
Notes : À la fois récit des origines et enquête familiale, ce roman se dévore. Suivi d'un entretien inédit avec l'autrice.
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